Spirou à New York | |
---|---|
Auteur(s) | |
Scénario | |
Dessin | |
Couleurs |
Stuf |
Édition | |
Éditeur |
Dupuis, 27 août 1987 |
ISBN | |
Nombre de pages |
44 |
Prépublication | |
Série | |
Série | |
Numéro |
39 |
Album précédent | |
Album suivant |
Spirou à New York est le trente-neuvième album de la série classique de Spirou et Fantasio et le septième Spirou et Fantasio de Tome et Janry.
Spirou à New York[]
Vito Cortizone, capo de la mafia italienne à New York, est victime avec l'ensemble de ses bras droits d'un sortilège. Son rival chinois le Mandarin fait peser sur eux une malchance continuelle. Pour s'en débarasser, Vito décide d'adjoindre à son équipe un véritable chanceux, comme porte-bonheur.
Il lance un grand concours : une clef dans un paquet de pizza ouvrant un coffre de sa banque où repose un million de dollars. Le chanceux les recevra s'il aide en échange Vito à éliminer le Mandarin. Spirou et Fantasio, qui sont justement à sec, tombent sur la pizza porte-bonheur...
Analyse[]
Tome et Janry livrent dans cette septième longue aventure une critique de la mafia, présentée comme bouffonne. Ils jouent énormément avec les clichés dans ce récit d'aventure comique basé sur la chance et la malchance.
Ils créent également leur propre méchant qu'ils feront énormément revenir par la suite.
Références et clins d'oeil[]
L'un des bousicoteurs se nomme monsieur Peyo et parie sur le cours du Schtroumpf.
La compagnie aérienne que prennent Spirou et Fantasio pour rentrer est un clin d'oeil au Snouffelaire d'Aurélien de Champignac : Snouffel Air.
Erreur de continuité[]
Dans la grande case de la planche 6, on aperçoit la Tour Eiffel. Jusqu'alors, il semblait que la maison de Spirou et Fantasio était en Belgique, ou en tout cas dans un espace indéterminé, car celle-ci n'avait jamais été aperçue.